De nouvelles poursuites en matière de changement climatique compliquent la politique énergétique des États-Unis

De nouvelles poursuites en matière de changement climatique ajoutent une autre couche de complexité au paysage de la politique énergétique des États-Unis. Les écologistes, les politiciens, les entreprises et l’administration Biden mèneraient une guerre contre les combustibles fossiles, poursuivant des poursuites stratégiques dans le but de promouvoir « Atténuation du changement climatique » le « transformation fondamentale » des systèmes énergétiques et économiques de l’Amérique, et de la justice environnementale.

Une partie de leur stratégie consiste à imposer des normes réglementaires prohibitives qui obligent les entreprises à abandonner les centrales électriques au charbon, les véhicules à gaz et le chauffage à base de combustibles fossiles. Ils emploient également « lawfare » tactiques, en utilisant des poursuites judiciaires pour imposer des règlements qu’ils ne pouvaient pas réaliser par voie législative.

Poursuites en matière de changement climatique

Une stratégie particulièrement gênante connue sous le nom de « poursuivre et régler » Les poursuites judiciaires suscitent des inquiétudes. Cela implique que les écologistes collaborent avec les agences fédérales pour fabriquer des différends politiques, qu’ils règlent ensuite à huis clos. Ces règlements se produisent souvent sans que le public ou les tiers touchés aient la possibilité d’examiner le bien-fondé de l’affaire.

Actions devant les tribunaux d’État

Les États et les villes ont également intenté de plus en plus de poursuites contre les producteurs de pétrole et de gaz contre les producteurs de pétrole et de gaz devant les tribunaux d’État, où ils estiment avoir de meilleures chances. Le Delaware et le Rhode Island ont suivi Baltimore, Honolulu, New York et San Francisco, entre autres, dans la poursuite d’une telle action en justice.

Des activistes s’attaquent au dioxyde de carbone

Ces poursuites en matière de changement climatique soutiennent que « gaz à effet de serre» qui sont censées contribuer au changement climatique traversent les frontières des États et doivent donc relever de la compétence fédérale. Des entreprises telles que BP America, Chevron, ExxonMobil et Suncor Energy ont fait appel à la Cour suprême des États-Unis pour que ces affaires soient régies par la loi fédérale, mais leur demande n’a pas encore été acceptée.

Procès contre le changement climatique de l’éolienne solaire. NewsBlaze image c/o Picsart.
Procès contre les éoliennes solaires et le changement climatique. NewsBlaze image c/o Picsart.

Faux litiges

Cette vague de litiges menace de créer une crise constitutionnelle, scientifique, juridique et de politique publique pour la nation, surtout si les verdicts conduisent à des dommages-intérêts de plusieurs milliards de dollars. La question fondamentale dans ces débats est de savoir si le dioxyde de carbone, qui est produit naturellement par l’homme et l’animal et qui est essentiel pour la croissance des plantes, doit être classé comme « un polluant dangereux ».

Producteurs d’énergie en faillite

Les plaignants réclament des milliards de dollars en pénalités et en dommages-intérêts pour couvrir les coûts associés à l’atténuation des impacts du changement climatique, tels que la construction de digues et l’élévation de routes. Pourtant, ils devront se réconcilier avec certaines réalités, telles que l’élévation naturelle du niveau de la mer depuis la fin de la dernière période glaciaire, ou le fait qu’une grande partie de l’élévation perçue du niveau de la mer est due à l’affaissement des terres dans les villes côtières, et non à la montée des mers.

Environnementalisme non durable

Ces poursuites ignorent également l’impact environnemental de l’extraction et du traitement des minéraux pour « vert », « renouvelable » des solutions énergétiques comme les éoliennes, les panneaux solaires et les véhicules électriques. Comme l’a noté Toyota Motor Corp., plus de 300 nouvelles mines de lithium, de cobalt, de nickel et de graphite seraient nécessaires d’ici 2035 pour répondre à la demande prévue de batteries.

Les méthodes d’obtention et de raffinage de ces minéraux sont souvent nocives pour l’environnement et dépendent des combustibles fossiles, ce qui contredit la poursuite d’un avenir énergétique propre, vert et durable. En outre, la mise en œuvre de ces sources d’énergie alternatives à grande échelle nécessiterait des infrastructures à forte intensité de terres et de ressources, entraînant la destruction des habitats fauniques et la pollution causée par des équipements usés.

Vérités qui dérangent sur l’énergie propre

La croisade environnementale menée par les élites occidentales est confrontée à une vérité qui dérange : la recherche de sources d’énergie propres néglige souvent le tribut humain et environnemental sur les pays les plus pauvres qui fournissent les matières premières nécessaires à ces technologies.

La production de batteries, au cœur de l’avenir envisagé en matière d’énergie verte, repose fortement sur des minéraux tels que le lithium, le cobalt et le nickel. Beaucoup d’entre eux sont extraits de pays pauvres, parfois dans des conditions dangereuses et d’exploitation. Les opérations minières causent généralement des dommages environnementaux importants, entraînant la déforestation, l’érosion des sols et la contamination de l’eau.

De telles contradictions remettent en questionIl a perçu la propreté des énergies renouvelables, soulevant des questions morales et éthiques sur les coûts réels d’une transition énergétique verte.

Les populations occidentales irréfléchies nuisent aux pays sous-développés

Les populations occidentales ont été persuadées par les élites environnementales que le charbon et le gaz sont mauvais et que le lithium et le cobalt sont bons. L’extraction du lithium détruit l’environnement. Ces personnes doivent réfléchir elles-mêmes et concilier leurs ambitions en matière d’énergie propre avec l’empreinte sale laissée dans les pays défavorisés. Il s’agit notamment de prendre en compte le cycle de vie complet des technologies renouvelables, de l’extraction minière à l’élimination des déchets, et de rechercher des solutions qui respectent véritablement les droits de l’homme et l’environnement.

Une action en justice est nécessaire

Au fur et à mesure que ces questions complexes évoluent, il est clair que les tribunaux, les organismes de réglementation et les législateurs auront beaucoup de travail à faire pour équilibrer les exigences multidimensionnelles de la politique énergétique, de la durabilité environnementale et de la stabilité économique.